Le colloque > Echos des participants

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Merci pour l'organisation de ce colloque, porté par un souffle, qui a su faire entendre toute l'importance d'une approche qui respecte les inventions si précieuses des sujets autistes. Avec une grande rigueur clinique, et aussi de l'émotion - où courait la joie qui se dégage d'un travail éthique, décidé à s'orienter sur le surgissement du nouveau. Pendant ces deux journées si riches, ces voix ont su percer - quelque chose s'est passé.
 
Bien amicalement,
Gilles Mouillac, Psychologue clinicien à l'ITEP Bellefonds à Cenon, Titulaire d'un doctorat de psychopathologie

 
Très chère Myriam,

Il y a des moments où il est très difficile voire impossible de trouver les mots pour dire. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas s’y essayer...
Le colloque sur l' Affinity Therapy est un de ces moments.
Je souhaite te dire en ayant laissé passer quelques jours que ce colloque que nous te devons est une extraordinaire ouverture sur cette question si brulante et au-delà.
Tu as su donner la parole à chacun des protagonistes, et ton invention de mon humble point de vue réside dans le pari de l’avoir donnée en premier lieu certes à chacun de cette fabuleuse famille Suskind mais aussi sujets autistes et à leurs parents. C’est une première qui compte et va compter pour l’avenir.
Il y avait de la joie dans le public à entendre sans polémique stérile les différents abords de cette difficile question, pas de synthèse visée mais l’inter-disciplinarité en acte.
Je tenais aussi en tant que membre du conseil d'administration de l’association du centre thérapeutique et de recherche de Nonette a te remercier pour la façon dont tu as parlé de ta recherche dans ce lieu si précieux de traitement, d’accompagnement et de recherche à nulle autre pareil.
Merci encore.
 
Claudine Valette, Présidente du Centre Interdisciplinaire de l'enfant et de l'adolescent, psychanalyste

L’Affinity Therapy est un OVNI dans le paysage qui a donné son cadre à la bataille de l’autisme.

D’abord pragmatique, comme le colloque organisé par l’université Rennes2 l’a mis en acte. Elle s’appuie sur un savoir des sujets, prélevé grâce à l’attention particulière d’un de leur proche, d’un accompagnateur attentif. A son origine, il y a donc une interprétation dénuée de tout présupposé. Ce savoir vient trouer les idéaux normatifs et aliénants qui veulent s’imposer. Pas étonnant donc qu’elle ouvre le dialogue entre les sujets autistes eux-mêmes, leurs proches et les praticiens réunis autour d’une même orientation : « Ecouter les autistes », respecter leur fonctionnement, leurs symptômes pourrait-on dire.

Elle est aussi éthique et s’affranchit des mirages scientistes et du sens commun pour tirer les conséquences de sa pratique à posteriori. Un nouveau savoir s’en déduit, sans complaisance pour les pseudo-vérités. Le colloque a ainsi ouvert, avec rigueur, un nouveau champ de recherche sur l’usage qui peut être fait des affinités et leurs limites, au cas par cas.

Cécile Wojnarowski, directrice du CMPP de Fougères


"De ces deux jours magnifiques, où se sont succédés témoignages d’autistes, de parents, de professionnels et de chercheurs, je garderais en mémoire, outre celui d’Owen Suskind, le discours d’Alan Ripaud, jeune homme des Côtes d’Armor.

Installé à la tribune, son propos bien préparé, les diapositives de son Power Point défilent. Lorsqu’il les commente, sa voix est posée, il ne trébuche pas sur les mots, en français mais aussi en latin ; son domaine électif le soutient, regardant avec fierté son auditoire. Sa mère est assise à côté de lui et son psychanalyste, proche mais pas trop près.

La mère nous a dit que l’abord comportemental, cognitif et la cure analytique avaient contribué à l’évolution positive de son fils. Echangeant quelques mots avec eux à la pause, ils précisent que l’important n’est pas les querelles mais l’action.

En effet, il s’agit d’une décision, tant du côté du sujet autiste, de ses parents que des professionnels, chacun avec son style, prélevant comme nous l’avons entendu durant ce colloque, le « divin détail ».

De retour dans nos institutions, « l’affinity » fait partie maintenant de notre discours. A nous de faire qu’il prenne racine.

 Guy Udo, psychologue clinicien en CMPEA et à l'hôpital de Saint-Brieuc


Chère Myriam Perrin,
Ces journées resteront mémorables pour moi. L’"Affinity" devient un modus vivendi ouvrant sur un apaisement dans un des services où j'exerce. Merci beaucoup, j'espère que vous prenez un peu de repos....
Bien à vous,

Françoise Morvan, psychologue clinicienne, en ESAT et Foyer d’hébergement à La Chapelle-Anthenaise


"Je suis vraiment fier d'avoir participé au colloque, d'avoir aussi transmis de l'espoir aux parents d'enfants autistes, concernant l'avenir professionnel de leur enfant. et de parler de mon projet pionnier et innovant. Je suis fier d'avoir également pu dévoiler tous mes talents ! J'étais heureux de voir les personnes émerveillées devant mes photographies exposées et vendues ce jour-là!

Je tiens à remercier énormément Maxime Annequin de nous avoir "escortés" toute la journée, et Jean-Claude Maleval de nous avoir cordialement invités !"

Alan Ripaud, autiste et chef d'entreprise


"Qui mieux que l’autiste lui-même peut dire ce qu’il pense des traitements qui lui sont proposés ? Le colloque sur l’Affinity therapy aura été pour moi l’occasion inédite d’entendre des sujets autistes témoigner de leur expérience face à un public nombreux et bienveillant. Owen et Alan, en prenant la parole ce jour-là à Rennes, n’ont-ils pas prouvé qu’il est possible de sortir de l’isolement autistique, par le dialogue avec un autre qui lui accorde une place singulière ? A chacun son affinité, à condition qu’elle soit accueillie !"

Hervé Damase, intervenant au CTR Nonette, psychologue clinicien


"Je suis vraiment heureuse qu'enfin une thérapie soit mise en place non pas pour maîtriser les comportements de mon fils autiste afin qu'ils correspondent à une norme sociale ! Mais pour l'aider à trouver sa place dans le monde afin que, serein, confiant et libre d'être lui-même, il puisse lâcher prise petit à petit, quand il le souhaitera, avec des comportements protecteurs et "enfermants" dont il n'aura plus besoin de s'entourer. 

Ses affinités mises en avant pour être lui, et non pas pour l'amener petit à petit à être ce qu'on attend de lui.

La différence si subtile dans le langage fait pourtant toute la différence.

C'est ce que j'ai entendu à Rennes lors de ce merveilleux colloque qui présentait l'Affinity Therapy : Que nos enfants étaient des êtres à part, importants… Précieux. 

Il y a dans le mot : "affinité" tant de poésie… et surtout, tant de promesses !"

Valérie Gay, mère de Théo, autiste

Voir aussi : "Lettre ouverte à Myriam Perrin à la suite du colloque Affinity therapy"


 "Chère Myriam Perrin,

Je profite d'un peu de temps libre pour vous remercier de l'organisation du colloque. Remerciements qui vont évidemment également à toute l'équipe dont vous vous étiez entourée. Vous avez su donner du panache à un colloque universitaire. Je déplore en effet leur habituelle fadeur, cette fois nous avons je crois été bien servi. Autant par la qualité des interventions (E. Laurent comme  toujours, mais d'autres aussi !), par l'émotion et l'enseignement des témoignages de parents, par l'idée de terminer ces deux jours par un film que je ne me lasse pas de revoir et enfin pour tous ces moments interstitiels, génériques, extraits de film, citations de sujets autistes qui témoignent de l'engagement de vous tous dans l'organisation.
Il y avait je crois, le pari d'être à la hauteur de la venue de Ron Suskind, visiblement très habitué au show, je ne sais pas ce qu'il en a pensé, mais vu de France, un grand pas en avant a été fait. Je souhaites que cela influence les futurs colloques universitaires, l'université s'est ouverte sur la cité et sur la modernité sans céder sur l'orientation qui est la nôtre.

Bien cordialement"

Mickaël Peoc'h, psychologue clinicien en IME, doctorant en psychopathologie


"Ce colloque a été pour moi et Alan, un très grand moment de notre vie : pouvoir témoigner en toute liberté et simplicité du parcours d'Alan et de son entreprise ! Nous avons fait de très belles rencontres avec des professionnels, des associations et des parents, et nous gardons le contact avec eux. 

Personnellement, je remercie très chaleureusement le Pr Jean-Claude Maleval de nous avoir invités. C'était un vrai challenge pour Alan, mais il le souhaitait fortement ! Pour lui, c'est une vraie reconnaissance, autant pour ses talents de botaniste et d'artiste, que pour ses talents d'orateur, mais avant tout une reconnaissance essentielle en tant que personne! Etre écouté et applaudi par 600 personnes, qui plus est, dans un amphithéâtre d'université, est, symboliquement,pour Alan, une expérience extraordinairement porteuse.

Je tiens à remercier toute l'équipe qui nous a entourés !  Nous avons été heureux et émus de revoir Jean-Claude Maleval, Myriam Perrin s'est montrée très douce et attentive également,  Maxime Annequin et Charles Cullard ont été très impliqués et très attentionnés à notre présence et à notre bien-être., afin que le témoignage d'Alan se déroule au mieux.

Nous avons échangés quelques phrases avec Ron : il s'est montré très enthousiaste pour le projet d'Alan, ce qui nous a touchés ! Depuis, j'ai reçu un témoignage de parents, des amis, qui se sont appuyés aussi sur les films de Walt Dysney, il y a 15/ 20 ans de cela, pour amener leur fils,  autiste, à parler et avoir des liens sociaux. Anecdote, qui, aujourd'hui, n'en est plus une... Comme quoi l'implication et le ressenti des parents est primordial...

Nous vous remercions donc tous, ainsi que tous les intervenants que nous aurons bientôt le bonheur de visionner !"

Anne Mével, mère d'Alan


"Battre en brèche le fait qu’il soit encore pour certains une "pathologie à rééduquer", l’autisme s’est illustré pour nous dans sa dimension de création que jusqu’alors, nous ne soupçonnions pas comme telle. Et c’est dans une ambiance agréable et ludique, tout autant que rigoureuse et scientifique, que ce public captivé et attentif a rencontré « l’affinity therapy » à l’université, la bien nommée. 

Les interventions de professionnels du champ de la santé, des universitaires et des praticiens ont permis une approche scientifique et rigoureuse  de cette pathologie. L’invention par le thérapeute américain Dr Daniel  Griffin, d’affinity thérapie, reprise par les responsables du colloque en termes « de thérapie par affinités » à permis d'illustrer l’orientation psycho dynamique exigible pour « entendre les autistes » dans notre monde sourd le plus souvent à l’invention de chacun. 

Les  témoignages des associations et des parents des enfants autistes, la présence de Owen Suskind et son discours, comme le travail d’Alan Ripaud ont convaincu le public de la nécessité « d’écouter les autistes », qui ont des choses à dire. Encore faut-il, comme l’a prouvé ce colloque international, que l’on se prenne au jeu de la vie et de ses inventions, que l’on fasse confiance à la richesse de l’humain, qui, pour peu qu’il soit accueilli, recèle des trésors insoupçonnés de « savoir vivre », quelque soit son « handicap ». 

Nous retiendrons encore que les avancées des chercheurs en psychopathologie au sein de l’université ont prouvé, s’il en était besoin, la rigueur et le sérieux de leurs travaux, permettant, à l’issue de cette rencontre internationale, d’engager la poursuite de cette recherche, tant au sein de l’université que dans les institutions de soins. A cet égard, la tenue de ce colloque fera date et événement, ouvrant à la chance d’être enseigné par les autistes et leurs inventions. Il fallait un colloque de ce type pour en mesurer la pertinence et l’enjeu qu’il recèle: une chance pour le sujet. Et c’est à Myriam Perrin, et son équipe, que reviennent mes vifs remerciements pour ce moment de travail et d’échanges". 

Dominique Carpentier, psychologue clinicienne en CMPP et psychanalyste


"Touchant, clinique, éthiquement fondamental, ce colloque a été un grand moment d'enseignement. Au delà  du débat psychanalyse/TCC, les autistes, leurs parents et les professionnels ont transmis une position essentielle, celle d'écouter les sujets. Chacun a témoigné dans son style de comment, à partir de l'affinité, on peut ne pas céder face au chaos. Merci!"

Delphine Jézéquel, psychologue clinicienne à l'Hôpital de jour de Saint-Brieuc

 

"Ecoustouflant"*

Difficile de se hisser à la hauteur d’Albert, pour ramasser en un mot les incidences de l’introduction en France de ce concept original, l’Affinity therapy, par des chercheurs de l’Université Rennes 2, et ce qu’il a suscité pour chacun : Vivant, autistes, original, parents, émouvant, rencontres, enseignant, professionnels, clinique, réussi, ouvert, convergent. 12, on reprend ! Il en manque un : « doux forçage », comme l’a interprétée Myriam Perrin. 13 façons … et plus si affinités, pour rendre compte de l’écho de ce colloque : « Affinity therapy : Recherches et pratiques contemporaines » qui a eu lieu les 5 et 6 mars derniers, en présence de la famille américaine, les Suskind.

27_Rewind_128.png REWIND. L’Université s’enseigne :

PREMIER ACTE

Écouter. Certes, mais avant tout donner aux autistes la possibilité de témoigner. Un acte éthique, au principe des travaux de recherches du GRA, qui étudie depuis plusieurs années, avec minutie, leurs témoignages et a permis de mettre à jour les spécificités du fonctionnement de la pensée autistique et le rapport si particulier au langage. Owen, puis Alan, in presencia, par leurs passionnantes interventions, nous ont ouvert les portes de leur monde et les clés pour y accéder : prendre appui sur leurs affinités.

ACTE II 

Rencontre. Recoupement et convergence dans les témoignages de leurs parents, et d’autres. Cornelia, Valérie, Aurore, Mireille, Eugénie et Anne ont su démontrer avec force les bénéfices d’un appui singulier sur les passions de leurs enfants. Et, tout comme Ron, Fabrice et Brigitte ont fait part de leurs désirs décidés de faire entendre dans la cité, par la voie associative, l’extraordinaire variété des intérêts spécifiques et la place qu’ils peuvent prendre dans l’ouverture de leurs enfants au lien social, malgré les difficultés quotidiennes.

ACTE III                   

Surprise. A l’air du chiffre, l’affinity therapy, mise à l’épreuve des statistiques de Myriam Perrin, prouve l’efficience d'un traitement de l'autisme orienté par les passions, quelles qu’elles soient, y compris en institution. En effet, Éric Laurent1 souligne qu’on est parti de l’existence d’un objet élu, dit autistique, et on l’a sophistiqué. A partir de là, une rencontre peut se produire car les intérêts des autistes sont considérés non pas comme un obstacle mais un appui pour accéder aux apprentissages. Ainsi, Jean-Claude Maleval2 indique que la thérapie par affinités apporte un souffle nouveau dans la prise en charge de l’autisme, pourtant aujourd’hui dominé par la préconisation des méthodes d’apprentissages.

ACTE IV                                                                      

Plurielles. Une grande diversité de cliniciens auprès d’autistes témoignent, au-delà de leurs orientations respectives, du travail déjà à l’œuvre qu’ils ont su épingler et soutenir dans leurs rencontres cliniques. Pas sans l’inventivité transmise par les parents et celles innovantes des institutions qui leurs font accueil. Et non sans considération pour des outils pédagogiques propres à leurs modes de pensées. Faire usage des affinités permet d’approcher l’enfant autiste pour qu’il trouve sa solution singulière, parmi les milles et une façon d’habiter le monde, remarque Sylvia Tendlarz. Le résultat de cette pratique est un gain dans le lien social, conclut Jean-Robert Rabanel, et un progrès dans la parole du sujet autiste. Jean-Pierre Rouillon4 souligne la nécessité que l’institution soit à la main de chaque sujet. Ce que l’affinity therapy nous enseigne, c’est qu’au fond pas un des autistes à Nonette comme ailleurs, pas un n’a la même institution.

 

 

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ACTE V

Débat. Entre déterminisme et singularité. Ariane Giacobino3 aura surpris tout le monde, en montrant combien, même le génome, prouve la singularité de tous. De surcroît, la plasticité neuronale témoigne que le cerveau n’est pas tout organique mais sensible et plastique à l’expérience, à la rencontre, à l’Autre. Les recherches de Sergio Laïa et Gilles Chatenay4 nous incitent à considérer la recherche de la causalité comme insuffisante, au regard des résultats probants qu’apporte la considération des passions des autistes pour leur apaisement.

DENOUEMENT

Une question insistante persiste lors de la venue de nos hôtes américains, adressés au cœur de l’alma mater : « qu’avez-vous appris de notre histoire, qu’est-ce que nous vous apportons ? ». Une question judicieuse qui a nécessité d’abord un silence. Puis une réponse de Myriam : la force d’une nomination. La thérapie par affinités comme dénominateur commun, non pas d’une méthode, mais d’un savoir-faire avec l’autiste, dans le respect et la singularité de son invention pour être au monde.

Si l’organisation de ce colloque et la façon dont allait être reçu l’Affinity therapy relevait encore hier d’un véritable pari, cette nomination semble déjà opérer, aussi bien pour les parents que pour les professionnels en institution. Un terrain d’entente nouveau, ayant pour principe dans l’accompagnement des autistes, le soutien de leurs affinités, permettra grâce au doux forçage une ouverture vers le lien social et le savoir.

* Inspiré du néologisme d'Albert, autiste, du film d'Ivan Ruiz, D'autres voix, "acustuflan" pour ramasser les 13 adjectifs qualifiant l'impression que lui a fait la réalisation de ce film.

par Myriam Perrin, responsable scientifique du colloque, Noëmie Jan et Charles Cullard, coordinateurs du colloque.

1. Cf. Laurent É., La Bataille de l’autisme. De la clinique à la politique, Paris, Navarin–Le Champ freudien, 2012.
2. Cf. Maleval J.-Cl., L’Autiste et sa voix, Paris Seuil, 2009, & Écoutez les autistes !, Paris, Navarin, 2012.
3. Cf. Ansermet F. & Giacobino A., Autisme : à chacun son génome, Paris, Navarin–Le Champ freudien, 2012.
4. Cf. Rouillon J-P, Chatenay G. Les autistes doivent-ils nous écouter ou devons nous les entendre ?, éditions du Losange, 2012.

EDITO

Retrouver les courriers adressés par les participants dans la nouvelle rubrique : "Courrier des participants", suivez l'écho dans la presse du Colloque dans la rubrique "Echos dans la presse".

CONTACTS

Contact presse : Maxime Annequin
maxime.annequin@hotmail.fr
Institution : Véronique Defrance
veronique.defrance@univ-rennes2.fr
Cellule Recherche : Gaëlle Menguy
gaelle.menguy@univ-rennes2.fr

Responsables scientifiques : Myriam Perrin, maître de conférence en psychopathologie à l'Université de Rennes 2 et responsable du Groupe Recherche autisme (GRA) de l'Equipe d'Accueil (EA 4050), et le Professeur émérite Jean-Claude Maleval ont organisé ce colloque international dans la ligne de leurs nombreux travaux sur la question de l'autisme et de son traitement, mais à la pointe des dernières recherches internationales.

myriam.perrin@univ-rennes2.fr

   
   

 

 

 


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